A domicile ou bien dans un Nail Bar, la prothésiste ongulaire travaille son art en fonction des attentes de ses clientes. Mais les règles régissant l'onglerie ont changé depuis le début de l'année 2016, avec ses conséquences sur la profession.
Une réglementation explosive
Depuis le 21 janvier 2016, la prothésiste ongulaire ne doit plus forcément posséder un CAP esthétique cosmétique, pour travailler.
S'appuyant sur un courrier du 10 janvier, la secrétaire d'Etat chargée du commerce, de l'artisanat, de la consommation, de l'économie sociale et solidaire à rappelé l'applicabilité du métier de prothésiste ongulaire.
Dorénavant les métiers en relation avec la pose de faux ongles avec gel ou la pose de capsules, le façonnage résine et les décorations uniques, la pose de comblages, les déposes, la décoration d'ongles et de pose de vernis classique et de vernis semi-permanent , ne nécessitent plus la qualification d'esthéticien(ne) pour exercer.
Le métier de prothésiste ongulaire
La prothésiste ongulaire sublime les mains et les pieds des femmes grâce à la pose de faux ongles. Elle maîtrise toutes les techniques de pose de faux ongles et de nail art . Sa créativité lui permet de réaliser des ongles uniques.
Ses missions sont multiples : elle se renseigne d'abord sur les | habitudes et les allergies des clientes, de façon à identifier les éventuelles contre-indications par l'intermédiaire de questions pertinentes, et examine la qualité de l'ongle avant de le travailler. La professionnelle de l'onglerie décore ensuite l'ensemble en appliquant vernis, bijoux, motifs, etc. |
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Les techniques utilisées
